• Les BoBos Mondialistes et Européistes détruisent l’emploi

    Après près d’un an d’interdiction de fumer dans les lieux publics, un nouveau coup dur se profile pour les gérants de bars : en effet trois députés Verts, BoBos et Mondialistes, avec à leurs tête l’inénarrable Noël Mamère, viennent de déposer une proposition de loi visant à interdire les parasols chauffants et autres braseros de terrasses !!!

    S’il faut absolument pousser à bout les professionnels, il reste encore à interdire les verres, les chaises, les baby-foot, les bouteilles et les tire-bouchons, objets qui peuvent tous devenir des armes par destination… Jusqu’où ira donc la démagogie de ces personnages ?

    Alors que cette année le chiffre d’affaire du secteur est en baisse de 10 à 20 % en fonction des régions, et que 610 établissements en France auraient déjà mis la clé sous la porte, cette proposition de loi pourrait mettre un nouveau coup d’arrêt à l’activité des professionnels de la restauration et de la boisson.

    Les mondialistes européistes de Bruxelles se sont prononcés aussi pour l’interdiction des systèmes de chauffe pour terrasses, mettant ainsi en danger des milliers de commerces qui participent à l’animation des communes et des quartiers. Au lieu de mettre encore en place des systèmes répressifs, il faudrait réellement étudier la véracité des nuisances prétendues, et, le cas échéant, anticiper et dédommager avant que la situation ne se dégrade complètement dans cette branche professionnelle.

    C’est pourquoi, le PARTI POPULISTE, soutient les détaillants contre les attaques démagogiques des BoBos Mondialistes et Européistes. Et réclame la mise en place de crédit d’impôt pour les commerçants sinistrés de ce secteur d’activité afin de pouvoir aménager leurs espaces de convivialité tout en restant en accord avec la loi car ceux qui payent tout et qui n’ont droit à rien, souffrent aussi de la bêtise du politiquement correct. La priorité doit demeurer de ne pas mettre en danger plusieurs dizaines de milliers d’emplois et la vie des quartiers comme des villages.

    Il est temps de quitter cette Europe-là !

    Gilbert Perea


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  • Clause de sauvegarde OGM: Voynet se félicite, demande d'aller plus loin

    PARIS - Dominique Voynet s'est félicitée samedi de la décision du gouvernement de maintenir la clause de sauvegarde permettant de suspendre la culture du maïs OGM de type MON810, tout en lui demandant de publier "les résultats des tests de toxicité dont il dispose".

    L'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a jugé vendredi infondée la position française, mais le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, et la secrétaire d'Etat, Nathalie Kosciusko-Morizet, ont maintenu la suspension, soulignant que la décision revient au Conseil des ministres européens, puis éventuellement à la Commission européenne.

    "En condamnant la décision française, l'EFSA s'affranchit de sa mission de protection des consommateurs, et cède à la pression des lobbies semenciers auxquels elle est décidément très sensible", estime Mme Voynet dans un communiqué.

    La sénatrice des Verts "se félicite de la réaction de Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet", tout en leur demandant "d'aller plus loin" en "rendant enfin publics les résultats des tests de toxicité dont (le gouvernement) dispose".

    "Ces informations n'ont en aucun cas à être protégées par le secret industriel ou commercial. Parce qu'elles portent sur les conséquences sanitaires de la consommation d'aliments issus de plantes génétiquement modifiées, elles doivent être portées à la connaissance du public", poursuit l'ancienne candidate à la présidentielle.

     


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  • Voici un "dossier" où j'ai choisi de publier les différents articles parus sur la nouvelle taxe bonnus malus.

    Cette taxe n'est pas appliquée uniquement en France, car la Belgique avait déjà, depuis 2007 instauré celle concernant le pique-nique.

    Tout comme la loi sur le tabac, nous pouvons aisément faire le lien avec l'Europe de Bruxelles puisque nous constatons que ces décisions ne concernent pas un seul pays...


    France:

    Le gouvernement va créer une taxe

    "pique-nique"

     

    Jean-Louis Borloo a obtenu le feu vert de Matignon pour créer cette taxe inspirée d'un dispositif existant en Belgique, affirme le Journal du dimanche.

     Le gouvernement s'apprête à créer une nouvelle taxe sur les produits en plastique jetables destinée à pénaliser les emballages inutiles et le gaspillage, afin de préserver l'environnement, rapporte le Journal du dimanche. Le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a obtenu le feu vert de Matignon pour créer cette taxe "pique-nique" inspirée d'un dispositif existant en Belgique. Le taux et la liste des produits concernés ne sont pas encore fixés, précise l'hebdomadaire.

    La taxe devrait concerner les couverts, les gobelets et les assiettes en plastique mais le ministère de l'Ecologie souhaite une application élargie aux sacs de caisse, briquets, rasoirs, adhésifs, et d'autres produits. La mesure s'inscrit dans l'extension du principe du "bonus-malus" écologique appliqué déjà à l'automobile et qui consiste à offrir une prime aux acheteurs de produits propres, tout en taxant les produits néfastes pour l'environnement. En l'espèce, il s'agirait d'un pur "malus", la création d'une prime à l'achat d'autres produits de pique-nique "propres" n'étant pas prévue, souligne le JDD.

    Le Parisien affirme de son côté avoir obtenu la liste des produits concernés par l'extension du bonus-malus. Eric Woerth a confirmé vendredi son extension, au delà de la voiture, sans pour autant dresser une liste exhaustive. Le quotidien avance que les réfrigérateurs, télévisions, lave-vaisselle, lave-linge ampoules piles, ordinateurs, peintures, pneus, bus, ou encore les logements font partie de la liste dressée par le gouvernement. Selon Le Parisien, les critères de ce bonus-malus élargi seront établis au cas par cas, selon les produits.

     


    Le bonus écologique ne sera pas

    "durci"... pour l'instant

     

    Les Français ont déjà tout compris en matière de voitures "vertes", et le système de "bonus-malus" écologique peut en témoigner : alors qu'il était censé s'autofinancer, les recettes équilibrant les dépenses, le voilà qui creuse les finances publiques avec un déficit évalué à environ 140 millions d'euros par le ministère des Finances. D'où l'idée de modifier le seuil de déclenchement du bonus écologique sur les émissions de CO2 des voitures neuves, pour rééquilibrer les comptes publics. Idée sérieusement discutée au sein du gouvernement... mais qui semble avoir été finalement rejetée.

    "On n'a pas tellement envie de modifier dès 2009 les seuils en-dessous duquel on est bonussé et au-dessus duquel on est malussé", a confié la secrétaire d'Etat à l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, dimanche sur Europe 1. Actuellement, le dispositif prévoit un bonus pour les véhicules émettant moins de 130 grammes de CO2/km, pouvant aller jusqu'à 1000 euros et un malus pour ceux émettant plus de 160 g CO2/km. Ce qui ne devrait donc pas évoluer dans l'immédiat : "On pourrait ajuster le barème, a admis Nathalie Kosciusko-Morizet, mais ce qui était prévu initialement, c'est plutôt d'ajuster tous les deux ans".

    "Un instrument qui a vocation à être neutre pour le budget de l'Etat"

    Et le surcoût pour l'Etat ne devrait pas pour autant s'opposer à une généralisation du système. "Le bonus-malus automobile a été déséquilibré parce qu'on a été victime de son succès. Les nouveaux bonus-malus sur lesquels on réfléchit, on veut qu'ils soient équilibrés. C'est un instrument qui a vocation à être neutre pour le budget de l'Etat", a souligné la secrétaire d'Etat à l'Ecologie. Elle a rappelé que le gouvernement réfléchissait "à une vingtaine de gammes de produits" auxquels étendre ce système. "Le bonus-malus n'est pas forcément assis que sur la consommation énergétique, ça peut être la recyclabilité du produit. C'est pour ça qu'on veut réfléchir aux détergents, aux peintures", a-t-elle dit, mentionnant aussi "un certain nombre d'équipements électroniques".

    Mais en ce qui concerne la liste des produits qui pourraient être concernés, "ce n'est pas complètement arbitré, ce sont des pistes de travail", a-t-elle souligné, ajoutant que ces extensions ne prendraient pas toutes effet au 1er janvier 2009. Elle n'a pas davantage confirmé les informations du Journal du Dimanche selon lesquelles Jean-Louis Borloo aurait obtenu le feu vert de Matignon pour créer une "taxe pique-nique" sur les produits en plastique jetables.

     


    Belgique:

    Nouvelle fiscalité écologique pour les voitures en Wallonie

    20/12/2007

    L'achat d'une voiture respectueuse de l'environnement peut vous rapporter gros, surtout si vous résidez en Région wallonne.

    Fin octobre, la Région wallonne a approuvé une série de mesures destinées à limiter les émissions de CO2. L'une d'entre elles se rapporte à l'achat d'une voiture par un particulier. Désormais, un bonus ou un malus vous sera attribué en fonction des émissions de CO2 de la voiture que vous achetez.

    Pour en connaître le montant, il faut d'abord établir une distinction entre deux situations. Si vous achetez votre première voiture, qu'elle soit neuve ou d'occasion, vous bénéficiez d'un bonus de 100 à 1000 EUR si ses émissions de CO2 sont inférieures à 146 g/km. Cependant, si elles dépassent 196 g/km, vous serez soumis à un malus de 100 à 1000 EUR. Cela signifie que vous devrez payer une sorte d'amende. Enfin, si vous achetez une « voiture neutre » (c'est-à-dire une voiture dont les émissions de CO2 se situent entre 146 et 196 g/km), vous n'aurez ni bonus, ni malus.

    Le deuxième cas de figure s'applique lorsque vous achetez une voiture neuve ou d'occasion en remplacement de votre ancienne voiture. Dans ce cas, les émissions de CO2 de la nouvelle voiture sont comparées à celles de l'ancienne. Si les émissions de la nouvelle voiture sont inférieures à celles de votre voiture actuelle, vous bénéficiez d'un bonus. Si elles sont supérieures à celles de l'ancienne, il vous en coûtera un malus.

    Lors de l'attribution du bonus, on tiendra également compte de la composition du ménage. La manière dont le bonus et les malus seront exactement attribués n'a pas encore été décidée. Il est en revanche acquis que la mesure ne s'appliquera pas aux voitures de société. Les entreprises qui achètent une voiture respectueuse de l'environnement ne pourront donc pas bénéficier d'un bonus, de même que celles qui acquièrent des voitures polluantes ne seront pas sanctionnées. Sachez également que ce régime ne s'applique ni à Bruxelles ni en Flandre.

    Vous pourrez cependant bénéficier d'une réduction fiscale si vous achetez une nouvelle voiture respectueuse de l'environnement dans ces deux Régions. Cette mesure s'applique d'ailleurs dans les trois Régions, y compris, donc, en Wallonie. Si vous achetez une voiture neuve dont les émissions de CO2 sont inférieures à 105 g/km, vous bénéficiez d'un avantage fiscal de 15 % du prix d'achat (TVA comprise) de la voiture, plafonné à 4270 EUR (montant valable pour l'année de revenus 2007).

     


    Juin 2007

    La taxe pique-nique, plutôt floue, en vigueur le 1re juillet

    Des mesures fiscales vertes sont de plus en plus fréquemment avancées pour résoudre les problèmes climatiques.

     

    Le gouvernement fédéral a décidé d’introduire une nouvelle taxe environnementale sur les emballages néfastes pour le climat.

    Bien que cette taxe entre en vigueur le 1er juillet, il subsiste de nombreuses imprécisions à son sujet. Une circulaire et un arrêté ministériel parus au Moniteur belge du 15 juin dernier apportent des éclaircissements concernant son champ d’application.

    Ainsi, seuls les sacs de caisse des supermarchés sont concernés. Les sacs réutilisables sont exemptés, mais pas les sacs compostables lorsqu’ils contiennent une fraction plastique minimale.

    La taxe s’applique également à tous les ustensiles jetables en plastique. En revanche, elle concerne uniquement les films plastiques et papiers aluminium destinés à un usage ménager.

    Malgré la parution de cet arrêté d’exécution, des difficultés pratiques subsistent, liées notamment à l’absence de définitions de notions telles que des sacs réutilisables et compostables.

    Les secteurs concernés sont en outre confrontés à de nombreuses questions pratiques relatives à la déclaration et au stockage.


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